Voyage Club : direction ILE D’YEU

Voyage ACDIF : Ile d’Yeu. En ce 24 juillet, les records de chaleur sont annoncés sur la région parisienne. Pas loin de 40 degrés tournent en boucle sur les chaines TV qui n’ont probablement pas beaucoup d’autres sujets, alors quelle belle occasion de les oublier en allant là où il fera plus frais ?

Alors voilà, nous sommes partis avec Philippe P. élève pilote et Olivier B. breveté, qui bat le record de participations à mes sorties club : 100% de présence, bravo Olivier, un sans faute !
La MTO est très belle, presque trop. Direction Angers pour une première étape sans embrouille, en route nous entendons deux DR400 sur la fréquence, de Toussus que je connais bien. Nous les retrouvons par hasard à Angers.
« Vous allez où ? »
« A l’ile d’Yeu ! »
« Ah oui, nous aussi ! » Forcément.
Ils sont 8, nous sommes 3, on file avec le GBIT, et nous faisons une courte escale pour arriver à temps pour déjeuner. Eux, ont posé des plans de vol, pas nous. Mais eux, ils sont 8 !
Arrivée sur l'Ile d'Yeu
Comme d’habitude, j’avais réservé les vélos à l’aérodrome de l’île (eux pas, ha ha ! :), et une fois arrivés, par un petit 26 degrés, nous sommes en selle pour trouver le restau sympa sur le port. Magique.
La Plancha du Pêcheur nous réserve un délicieux filet de thon gras, à l’ombre face au port, je vous le recommande. On y voit passer d’étranges choses…
Etrange chose
Sachant qu’il faut « manger ET bouger », nous retrouvons nos bicyclettes pour une traversée de l’île aventureuse, une plage nous attend de l’autre côté et Olivier a décidé de se baigner. Il faut bien cela en pensant aux parisiens sous la canicule et au milieu des milliers de travaux !
Ballade en vélo
Paysage magnifique
Pas loin, on y aperçoit le chateau de l’Ile Noire, de Tintin.
Châteur de l'Ile Noire Tintin
Le vol retour passera par Saumur, histoire de changer. Une piste que nous connaissons peu. Nous nous rapprochons d’Air France avec un audacieux FL55 où l’air est juste plus respirable au fur et à mesure que nous nous rejoignons l’écurie.
Vol de retour
L’île d’Yeu, on y va et on y retourne sans hésiter, et comme le dit mon ami Bernard Chabbert, « On a voulu voler pour se payer de ce côté ci de la vie un acompte de paradis ».
Laurent vH
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